MAROC HOTELS?

MAROC HOTELS?

 

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Délinquance de droit commun : Eviter de se promener à pied avec des bijoux ou un sac le soir dans les centres-villes ou les quartiers périphériques des agglomérations. Présence importante de mendiants et d'enfants quémandeurs dans les grandes villes touristiques et aux abords des monuments. Les signes extérieurs de richesse entraînent évidemment, ici comme ailleurs dans les mêmes contextes, des risques de vols à la tire. Prendre de préférence un taxi. Il est fortement déconseillé de se promener, à fortiori la nuit, dans des lieux désertés par le public (plage, parcs publics, notamment) ou ceux dont la mauvaise fréquentation est notoirement connue localement. Afin de limiter tout risque d'agression, il est vivement conseillé de rester constamment vigilant et d'adopter une tenue et des comportements respectueux des us et coutumes locaux (cf. paragraphe "recommandations complémentaires"). Les personnes voyageant en camping car, particulièrement dans le sud près des plages, ne doivent en aucun cas passer la nuit de façon isolée, surtout à proximité d'une ville. Faute d'utiliser les services d'un terrain de camping, il est conseillé de prendre contact avec la gendarmerie royale. Le Mechaouar sur l’avenue Oqba Ibn Nafiaa. Les vrais faux restaurants locaux avec vrai fausse musique gnaouas. Les grillades de poissons sur les " stands barbeccues " du port : peu ou pas d’hygiène, pas de conservation au froid du poisson... à ne tenter que si vous savez parfaitement reconnaître la fraîcheur du poisson ou des crustacés que vous choisirez avant de commander leur cuisson sur les braises. Il y a toujours un vrai bonheur à se perdre dans la médina, à se mêler aux acteurs de ce théâtre tour à tour burlesque, émouvant ou tragique, à se voir offrir à chaque pas le cadeau d’une beauté nouvelle, d’une merveille inattendue. Le petit taxi a dû renoncer à s’engager plus loin dans l’inextricable lacis des ruelles et des impasses, et la courte promenade qui mène au « Foundouk » est déjà une fête d’avant la fête, celle qui est promise à la table de l’une des plus belles adresses gourmandes de Marrakech. Voilà quelques décennies à peine s’élevait ici l’un de ces caravansérails où les paysans venus des villages alentour pour vendre fruits, légumes, volailles, ânes ou chameaux logeaient accompagnés de leurs bêtes dans une indescriptible promiscuité. On a peine à imaginer qu’entre ces mêmes murs retentissaient autrefois les cris des hommes et des bêtes, flottaient les effluves puissants des écuries, des ballots de laine brute et de la sueur humaine. On entre aujourd’hui dans un lieu d’une élégance épurée qui réussit la gageure d’être moderne tout en restant intemporelle. Géométrie stricte et linéaire, jeu presque abstrait du noir et du blanc, volages nuageux, niches dans les murs abritant des objets rares et exquis… L’étonnant est qu’on se sait sans le moindre doute au Maroc, sans que jamais pourtant son évocation presque subliminale tombe dans les lourdeurs du folklore. Autour d’un puits de lumière occupé par un lustre arachnéen en fer forgé, immatériel tant il est aérien, s’ouvrent sur deux niveaux des salons presque invisibles, assez vastes parfois pour accueillir une douzaine de convives, et pour certains aussi intimes qu’un boudoir. Au rez-de-chaussée, des divans, des canapés et des fauteuils profonds ; à l’étage, des tables pour deux accolées à la balustrade de la galerie. Miracle… quel que soit le nombre des dîneurs, chaque tablée se sent comme isolée dans une bulle douillette, les conversations se croisent sans se rencontrer.

 

 

 

 

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